« Cette fois-ci je n’ai pas pu faire autrement. Soit je me séparais de mon chauffeur, soit je perdais mon plus important client et dans ce cas mon entreprise aurait eu du mal à s’en remettre. Plusieurs fois, mon client m’avait dit que le conducteur de cette tournée sentait très fort l’alcool. Avec ses courriers de mécontentement, j’ai dû procéder au licenciement de mon salarié ».
L’article R. 4228-20 du code du travail mentionne que : « aucune boisson alcoolisée autre que le vin, la bière, le cidre et le poiré n’est autorisée sur le lieu de travail ». Pour autant, dans certains secteurs, l’employeur doit aller bien au-delà de cet article. Ce sera notamment le cas dans le transport routier en raison des impératifs de sécurité et de maîtrise du comportement requis des conducteurs. C’est d’ailleurs l’espr
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