En tant que transporteur national et vers l’Espagne en lots partiels et complets, nous développons quatre activités : le tautliner avec des bobines de tôle et machines-outils ; la benne et le fond mouvant avec du vrac alimentaire et industriel ; le plateau avec du bois, de la paille, des matériaux de construction ou du convoi exceptionnel.
En 1998, nous avons créé une plate-forme logistique à Irun, « Sudre Iberica ». Mais le trafic a depuis fortement baissé et nous sommes obligés de revoir nos objectifs. Pour un camion qui descend, dix remontent. Il y a trop peu de marchandises à dispatcher pour une flotte de 35 camions. Nous comptons donc y réduire de moitié notre effectif de 35 salariés.
Nous n’avons pas pu réaliser d’investissement depuis trois ans. Par prudence, nous nous sommes recentrés sur le national, en particulier le TP. La ligne TGV d’Angoulême a généré beaucoup de transport de pièces. Plutôt que de prospecter de gros clients, nous multiplions les petits.
Pour réduire les coûts, nous recherchons les points de chute les moins chers possibles pour les approvisionnements en gazole et n’empruntons les autoroutes que si nous sommes lourdem
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