La compétitivité hexagonale en débat

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Face aux enjeux économiques et politiques, TLF veut renforcer son rôle au sein des organismes décisionnaires. Lors de son Université 2012, les 14 et 15 juin à la Plaine-Saint-Denis (93), la réflexion portait sur la compétitivité des entreprises françaises.

Appelez-la désormais « Union TLF »! La fédération vient d’adopter un nouveau nom qui accompagne un changement de statut juridique : une seule entité rassemble « les 14 syndicats affiliés et les 6000 entreprises membres ». Cette évolution vise à rationaliser et à renforcer l’organisation, assure Patrick Bouchez, le président délégué général : « Il s’agit d’un signe fort de l’unité de notre mouvement professionnel ». Car face aux problématiques du secteur, il devient impératif de se faire entendre des pouvoirs publics. « Nous attendons des responsables politiques du transport, dans le respect de l’équilibre et du développement d’un secteur clé de l’économie française, des décisions rapides, concrètes et efficaces », indique le dirigeant. Avec 800 000 emplois directs et indirects et quelque 30 000 emplois nouveaux par an dans les 5 a

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