Il avait été retoqué par la Direccte début janvier 2012. Pour « manque d’informations » aux organisations syndicales. Les dirigeants de Dachser France ont finalement revu leur copie et le PSE vient d’être mis sur les rails. Il porte sur la suppression de 50 postes (75 avaient été initialement prévus), tous localisés au siège vendéen de La Verrie. Au final, par le jeu des départs volontaires et des reclassements, le PSE ne concernerait « plus » qu’une dizaine de départs contraints. « Les conditions de départ des salariés concernés sont plus avantageuses que dans la précédente version », estime Fabienne Leroy-Vervoux, déléguée syndicale centrale CFE/CGC de Dachser. Cette dernière assure que les OS continuent de contester le bien-fondé de ce PSE car « même si Dachser France perd de l’argent, sa maison mère dégage des résultats à 2 chiffres ». De source syndicale, le PSE mis en place serait ainsi davantage dicté par des raisons structurelles qu’économiques. « On est surtout dans une logique de décentralisation des tâches vers les agences », déclare la syndicaliste, selon laquelle Dachser France n’a toujours pas pourvu le
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