Via ses dix délégations régionales, l’Union TLF a fait partir 577 courriers à destination des députés (422 hommes et 155 femmes), dont une majorité de nouveaux élus après le scrutin de juin. L’organisation professionnelle, présidée par Patrick Bouchez, met l’accent sur « l’urgence à redresser la compétitivité des entreprises » du secteur transport et logistique. « Nous faisons ce travail de sensibilisation à l’endroit des nouveaux parlementaires. La sauvegarde de l’emploi est en jeu », assure le président délégué général. En insistant sur la fragilité des marges nettes (1 % à 1,2 %, selon ses calculs), TLF ne manque pas d’arguments pour se faire entendre. Sont visés : la taxe poids lourds et l’absence de garantie claire ; le cabotage qui doit faire « l’objet de contrôles plus stricts » ; la discrimination fiscale envers les loueurs(mise à l’index par Bruxelles) ; le 44 tonnes sans 6ème essieu ; la promotion des conditions de report modal jugée peu satisfaisante et… l’allègement du coût du travail. Sur ce dernier point, TLF réclame une TVA sociale qui permettrait de réduire le coût du travail et le niveau de
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?