Toute crise se nourrit… d’un déficit de confiance. Un vrai cours d’économie insiste, dès le propos liminaire, sur cette dimension hautement subjective, la confiance, qui irrigue et stimule tous les corps de la société. Dans le champ des possibles, « avoir le moral » demeure une valeur sûre. Or l’avalanche actuelle d’informations, politiques et économiques, donne matière à déprime. Le contexte général n’évoque que hausse d’impôts, défaillances d’entreprises, plans sociaux et récession en Europe (recul du PIB de 0,3 % dans la zone Euro). Attention à la rafale de mauvaises nouvelles ! Dernière en date, survenue le 17 juillet : le risque de plus de 100 000 pertes nettes d’emplois en 2012-2013. Selon le cabinet Roe-Rexecode, la croissance économique en France (0,3 % en 2012 et 0,8 % en 2013 selon ses prévisions) sera « insuffisante » pour retrouver des créations nettes d’emploi. Le taux de chômage atteindrait « 10,5 % à la fin 2013 et devrait franchir le seuil de 10 % à l’été 2012 ». Les prévisions anxiogènes ont-elles vocation à se répandresans limites ? Les échéances dans le TRM ne sont pas de nature plus réj
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