Le 9 août au matin, les techniciens ont découvert que d’importants dégâts venaient d’être commis lors du passage sur le pont Bonaparte d’un convoi « présumé » en surcharge. « Les trottoirs et les caniveaux ont été écrasés sur 40 m de long et les traces de pneus sont bien visibles », indiquait Olivier Beluze du Grand Lyon, tout en prévenant ses homologues du Conseil Général du Rhône, gestionnaire de l’ouvrage d’art. Stéphane Canalis, directeur à la mobilité pour le département, a aussitôt déposé plainte pour dégradation du domaine public routier : « Avec l’aide des caméras de la ville de Lyon, la police devra identifier les transporteurs qui ont emprunté le pont et le responsable des dégâts. En attendant que les experts remettent un premier rapport, nous avons aussitôt pris une mesure conservatoire dans l’intérêt de la sécurité, en interdisant l’accès aux camions de plus de 48 t ! »
« La situation devient inextricable, s’emporte Jean-
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?