Notre activité se répartit entre le transport de marchandises industrielles (50 %), agroalimentaires (20 %), les matières dangereuses (10 %) et l’exceptionnel (20 %). Le tout sur des lignes régulières – Paris, Pays de la Loire, Nord et Midi-Pyrénées – mais aussi à la demande sur la France. En 1995, nous avons abordé le convoi exceptionnel jusqu’à 48 m de long. L’investissement de départ est conséquent mais cette spécialisation reste porteuse.
L’année 2012 a été compliquée. Nous avons de plus en plus de mal à planifier. Des périodes totalement vides succèdent à des semaines où nous sommes débordés. Les entreprises du bâtiment se décident à acheter au dernier moment. Depuis deux ans, les chiffres se révèlent toutefois meilleurs. Nous margeons à 2 % notamment grâce à la redéfinition du plan de transport. Nous avons réduit le nombre de kilomètres parcourus pour nous recentrer sur les trafics les plus rentables. Sur la ligne entre la Bretagne et Paris, le nombre de véhicules a été divisé par deux, à 3 ou 4 véhicules/jour, pour redéployer les matériels sur du transport à la demande. Lorsqu’il est compliqué de faire passer d
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