La cour d’appel de Grenoble n’a pas donné suite à la demande d’Antonio Amaniera qui contestait la mise en liquidation judiciaire de son groupe par le tribunal de commerce de Romans (26), le 30 janvier dernier (L’OT 2677). La cour d’appel a donc mis fin aux ambitions du transporteur drômois, en prise avec Transalliance dans le cadre d’une transaction portant sur 3 sociétés qu’il avait acquises au groupe lorrain. 170 salariés sont concernés par cette liquidation confirmée.
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