Nous avons misé sur la diversification : lots industriels en national et international, température dirigée, grand volume, hydrocarbures, location de véhicules avec chauffeur, stockage et logistique. Ainsi nous ne dépendons pas d’un secteur. À l’international, nous offrons toutes les qualités de service français, mais nous nous appuyons sur des conducteurs étrangers, car nous n’avons pas les moyens financiers de procéder autrement. Nous vivons une époque de crise très délicate, notre activité est en baisse.
Dans ce contexte où chargeurs et transporteurs sont confrontés à des difficultés, le législateur nous oppose sur le dossier de l’écotaxe, alors que nous aurions pu négocier des contrats gagnants-gagnants. Le débat se focalise sur cette taxe, les chargeurs poussent les prix à la baisse pour assurer sa neutralité, et quand il s’agira de la mettre en œuvre, nos discussions commerciales se limiteront à cette question : quelles autoroutes et nationales empruntez-vous ? Si une TVA écologique avait été privilégiée, personne n’aurait discuté. Dans des relations plus apaisées, nous aurions pu proposer aux chargeurs de nouvelles organisations
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