TRANSPORTER LES VACHES ET RIEN D’AUTRE

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Entre contraintes réglementaires à foison, contrôles routiers à répétition et baisses de chiffre d’affaires, pas facile d’exercer le métier de transporteur d’animaux vivants. Chez Ayrault Frères, on a toutefois conservé la passion chevillée au corps. Du marché aux bestiaux de Cholet jusqu’à l’abattoir de La Roche-sur-Yon, nous avons accompagné Alain Ayrault et son neveu Gérald Bruneau tout au long de la journée. Une journée « vachement » instructive…

Janvier 2013. Un lundi matin, Relais des Prairies, à la périphérie de Cholet. Il est 12 h. Le marché aux bestiaux. Un vent glacial balaie les allées. Mais il n’altère pas la bonne humeur des hommes en blouses grises, la casquette vissée sur la tête, les bottes de chasse au pied et la trique à la main. C’est l’heure de trier les vaches, de les faire rentrer à coups de triques sur le cul ou la tête dans les « parcs ». D’un côté, « le maigre », les jeunes animaux qui vont prendre le chemin des fermes de la région. De l’autre, les bovins qui vont finir en steaks hachés, direction l’un des abattoirs de la région. C’est comme cela tous les lundis matin. Quelques

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