Que celui ou celle qui n’a jamais consulté le site des 3 belges ou ses comptes en ligne pendant le temps de travail jette la première pierre au lapidé, licencié pour faute grave, lourdement coupable de « cyber-flânerie » excessive (joli néologisme emprunté au site « rue 89 ») sur le lieu et pendant le temps de travail. Cette cyber-flânerie devient une habitude de vie. Et comme les vies professionnelle et privée ont tendance à se confondre, la flânerie se moque le plus souvent de l’invisible frontière entre ces vies.
Les pratiques professionnelles tolèrent assez bien les « clics » furtifs sur les réseaux sociaux ou les consultations express pour connaître en temps réel la position de livraison de la télé écran plat commandée, deux jours plus tôt, toujours depuis le bureau… D’ailleurs telle est la position de la CNIL, fidèle gardie
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