En 2009, le groupe Carrefour, numéro deux mondial de la distribution, s’est fixé un objectif : améliorer de 30 % son efficacité énergétique en 2020 par rapport à 2004. Une ambition qui passe par l’adoption de comportements et pratiques moins énergivores et moins émetteurs de CO2. Compte tenu de l’importance des volumes livrés en magasin, l’optimisation des activités de transport et de logistique est bien évidemment un levier d’action majeur pour atteindre ce but. Le bilan carbone du groupe en 2009 a ainsi démontré que le transport des marchandises représentait 10 % de ses émissions indirectes de gaz à effet de serre (2,60 millions t.eq. CO2). Réduire cette part répond donc à une exigence environnementale. Mais également économique. Avec l’instauration de la fiscalité carbone, notamment l’éco-taxe poid
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