Publié le : Dernière Mise à jour : 20.08.2024Par : SLIMANE BOUKEZZOULALecture : 5 min.
Depuis sa reprise le 6 janvier 2009 par Kuehne + Nagel, Alloin s’est mis en ordre de marche pour devenir le bras armé du groupe suisse dans la conquête de marchés de messagerie en Europe. Alloin s’est ouvert tous les gros appels d’offres auxquels il n’avait pas accès, en amont ou en aval des grands marchés de l’overseas décrochés par son nouvel actionnaire. « Kuehne » peut compter sur le formidable potentiel d’un groupe qui avait déjà anticipé les indispensables évolutions dans l’industrialisation des process.
Qu’est-ce qui a changé chez Alloin depuis sa spectaculaire reprise par Kuehne + Nagel au début 2009 ? Rien et tout à la fois. Rien car Alloin avait une longueur d’avance dans l’industrialisation de ses process et continue de capitaliser sur cette avance. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si le groupe suisse a jeté son dévolu sur l’entreprise rhône-alpine. Tout car Alloin, fort de la solidité de ses bases domestiques (75 % du CA), peut à présent lorgner avec gourmandise sur l’export en s’appuyant sur la formidable puissance de frappe dans l’overseas de sa maison mère. Pour Alloin, le soleil se lève aujou
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques