Dans son plan de réforme présenté le 25 février en Conseil des ministres, il cible quatre priorités : revaloriser l'image de cette filière professionnelle ; adapter le dispositif aux aspirations des apprentis ; simplifier l'accueil des jeunes par les entreprises et garantir un pilotage ainsi qu'une meilleure transparence du financement de la taxe d'apprentissage. Laquelle se décompose en deux parties pour les employeurs : 40 % au titre du quota obligatoire à verser - soit directement au Trésor public, soit via un organisme collecteur comme les Chambres de commerce et d'Industrie - afin d'abonder le Fonds national de péréquation de la taxe d'apprentissage (FNTPA) ; et 60 % (15 % peuvent être exonérés, 45 % sont effectivement versés aux organismes de formation) au titre des sommes dépensées par l'employeur ou bien réglées au Trésor public. Mais cette répartition pourrait être modifiée. Pour compenser les coûts induits (plus d'appr
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?