Plan de transport encore plus tendu

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Avec l'acquisition d'un outil informatique (un TMS), le groupe papetier GPV optimise encore un peu plus un plan de transport déjà très rationalisé, malgré sa complexité. Un bilan carbone est en vue. Explications.

Le fabricant d'enveloppes GPV est né dans le berceau de la papeterie : le bassin d'Annonay (06). Son usine historique -basée avec le siège à Davézieux- a deux homologues en France, Roanne (42) et Saint-Amarin (68), deux en Grande-Bretagne et une en Roumanie. En France, pays qui représente 70 % de son chiffre d'affaires (180 M € en 2007), le groupe effectue 140 000 livraisons par an, pour deux catégories de clients : les sociétés de la grande distribution et les grands vendeurs de fournitures, qui doivent être livrés à des jours et heures réguliers, et les entreprises de la chaîne graphique pour lesquelles la livraison en 24 h est primordiale. « Un imprimeur ne nous passe sa commande que lorsqu'il a celle de son propre client », explique Charles Humblot, directeur transport et distribution de GPV.

Il a mis en place depuis 2002 un plan de transport optimisant au mieux la complexité des circuits de distribution en Fr

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