PRÊT À L’OFFENSIVE

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MUNSTER (42). Thomas Wilson a racheté Munster à Transalliance fin 2010. Le dirigeant n’a pas perdu de temps pour remettre l’entreprise stéphanoise sur les rails. La flotte est à présent flambant neuve. L’entreprise prend position sur de nouvelle niches. Et elle s’apprête à prendre du muscle au niveau capitalistique.

Un peu plus d’un an à peine après avoir pris le contrôle (à 100 %) de Munster, Thomas Wilson s’apprête à mettre un coup d’accélérateur. Le statut fiscal de la société va évoluer, de Sarl à SAS. Et, Munster devrait prochainement accueillir dans son tour de table des partenaires financiers. Objectif : renforcer les fonds propres afin de se donner les moyens d’un développement par croissance externe. « Nous avons la taille intermédiaire aujourd’hui, indique Thomas Wilson. Si nous souhaitons renforcer notre portefeuille clients et nous orienter vers d’autres marchés, il nous faut nous renforcer ». Ces financiers, « actifs sur la région Rhône-Alpes », selon le dirigeant stéphanois, qui conservera la majorité des parts, seraient intéressés par les marchés de niche investis par Munster

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