Installés 40 km à l’ouest de Mulhouse, au creux d’une vallée vosgienne, les Transports Weber viennent de renouer avec la profitabilité en réduisant leur dépendance à l’égard de l’industrie automobile. La société créée en 1973, à Urbès, a développé l’affrètement et parié sur des secteurs plus rémunérateurs impliquant de réels savoir-faire comme celui des matières dangereuses et déchets dangereux ou non dangereux. Les premiers effets de ce virage à 180 degrés commencent à se faire sentir : le résultat net a atteint 45 000 € en 2013, puis 220 000 € en 2014. Une progression encourageante dans un contexte où « l’entreprise gagne 4,85 € par camion et par jour, si tout va bien », confie Sophie Weber, présidente du conseil d’administration. La responsable commerciale des Transports Weber a succédé, en juillet dernier,
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