Alors que le gouvernement cherche à réduire les dépenses, OPCO Mobilités
s’attache à optimiser les aides de financement pour la formation. Il s’attaque
notamment à la fraude aux faux contrats de CFA (centre de formation d’apprentis). L'officiel des transporteurs a échangé avec Isabelle Maimbourg, directrice générale d'OPCO Mobilités.
s’attache à optimiser les aides de financement pour la formation. Il s’attaque
notamment à la fraude aux faux contrats de CFA (centre de formation d’apprentis). L'officiel des transporteurs a échangé avec Isabelle Maimbourg, directrice générale d'OPCO Mobilités.
Six ans après la création des Opérateurs de compétences, comment OPCO Mobilités se structure-t-il ? A-t-il de nouvelles compétences ?
OPCO Mobilités, créé avec la réforme de 2018, comptait 370 collaborateurs en 2019, contre 500 aujourd’hui, répartis entre le siège et les régions. Nous avons en effet suivi une stratégie d’implantation territoriale qui s’est élargie en janvier 2023, avec un agrément pour les DROM (départements et régions d’outre-mer). En 2024, grâce à la création d’un réseau de CFA de la Mobilité, nous avons modifié l’organisation pour pouvoir proposer plus de conseil en entreprise sur les territoires, avec plus de fluidité. Nous avons plus de compétences sur le contrôle. En effe
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