BENNES sous influences

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Marquée par une forte saisonnalité, l’activité de transports de vrac solide s’est ouverte aux 44 tonnes début 2013 dans un contexte de ralentissement de l’activité économique. La surcapacité qui en découle est nuisible au plan commercial et contraint les acteurs à innover sur le plan de l’exploitation tout en misant sur la diversification et la polyvalence.

Les transporteurs de vrac en bennes ont le moral en berne. De lourdes menaces planent sur la filière. L’activité industrielle pâtit du ralentissement de l’activité économique générale ; l’activité agricole se maintient, mais reste suspendue aux primes versées par Bruxelles aux agriculteurs, toujours remises en cause. Quant au TP, il souffre de l’arrêt des investissements d’infrastructures lié à la baisse des ressources financières de l’État et des collectivités locales. Sur ce dernier point, le report de l’écotaxe ne va pas arranger les choses : « Paradoxalement, l’écotaxe devait soutenir notre activité en relançant les travaux d’infrastructures routières… », remarque David Sagnard, P-dg des Transports Carpentier à Calais, spécialisé dans l

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