Berlin renonce au smic sur le transit

Article réservé aux abonnés

Le gouvernement fédéral suspend l’obligation d’un salaire minimum pour les conducteurs routiers en transit. En attendant le verdict de Bruxelles.

C’est une victoire d’étape pour les transporteurs polonais, tchèques ou hongrois : un mois après l’entrée en vigueur du salaire minimum en Allemagne, la ministre allemande du travail, Andrea Nahles, a renoncé à l’appliquer, comme cela était prévu au départ, aux chauffeurs routiers étrangers en transit dans son pays. Annonce faite le 30 janvier dernier à l’issue d’une rencontre avec son homologue polonais, Wladyslaw Kosiniak-Kamysz, mais qui ne constitue pour l’instant qu’une mise entre parenthèses.

Depuis le 1er janvier 2015, la règle était la même pour tous : tout chauffeur de poids lourds étranger circulant sur le sol allemand devait être payé au tarif du salaire plancher désormais en cours dans le pays, soit 8,50 € bruts de l’heure, qu’il soit en transit, effectue des livraisons internationales depuis ou vers l’Allemagne ou bien qu’il pratique le cabotage. Cette réglementation a cependant suscité un vif mécontentement au sein des pays d’Europ

La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Actualités

EUROPE

Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15