Du barging à vocation humaine

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À Nantes et dans son agglomération, la politique en matière de distribution urbaine consiste à soutenir les projets qui émanent du secteur privé. Dès lors qu’ils sont porteurs de solutions contre la congestion et les émissions de CO2.

La ville du Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, n’a pas la prétention d’être avant-gardiste en matière de transport de marchandises. Nantes n’édicte pas de règles, ne s’inscrit pas dans un registre de création de projets mais plutôt de soutien d’initiatives du privé. C’est le cas, par exemple, avec ce projet d’utilisation de la Loire à des fins de barging. Autour de la table : le Grand port maritime Nantes/Saint-Nazaire, les chargeurs, les transporteurs (organisations patronales du TRM et certaines entreprises) ainsi que la ville et son agglomération. Dans les deux ans qui viennent, des plateformes logistiques devraient fleurir sur les quais, y compris en milieu urbain. Les marchandises concernées ? Déchets, gravats, matériaux de construction…

« Ces infrastructures devraient également servir au transport de colis car nous avons beaucoup d’arrivées de conteneurs en

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