UN TRAFIC sans débordement

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Respectueuse de l’environnement mais pas encore compétitive, la navigation fluviale doit s’appuyer sur les autres modes pour se développer. Mais pas seulement. De bonnes infrastructures, qui conduisent à une meilleure productivité, pourraient attirer les chargeurs.

Une grande capacité mais une faible exploitation, voilà ce qui caractérise le réseau fluvial de notre pays. Avec ses 8 500 km de voies navigables dont 1 800 km à grand gabarit, la France possède le plus grand réseau européen. Pourtant, le transport fluvial représente à peine 4 % du fret, loin derrière les autres modes. Il progresse malgré tout de manière constante depuis une dizaine d’années et résiste plutôt bien à la crise (– 1,6 % en 2012 contre – 7,5 % pour la route). Le secteur n’est pas assez compétitif aujourd’hui mais alors de quel mal souffre-t-il puisque les volontés de le développer sont là ? D’un manque d’infrastructures ? Non, pas forcément si l’on se fie aux professionnels du transport fluvial qui considèrent la France plutôt bien dotée, sur les deux principaux bassins, la Seine et le Rhône. « En mettant à dispo

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