FLORENCE MARCHAND : Oui, surtout dans notre région sinistrée du fait des nombreux plans sociaux qui sévissent dans l’industrie textile, papier et bois. Les salariés se voient financer des formations et certains choisissent le métier de conducteur routier. Sur les 50 personnes que nous recrutons chaque année, entre 5 et 6 arrivent d’un tout autre secteur professionnel. La plupart veulent devenir conducteur routier, mais nous avons quelques exemples d’agent d’exploitation.
F.M : Ils sont âgés de 35 à 45 ans et ce sont majoritairement des hommes. Nous avons quelques femmes conductrices, qui auparavant travaillaient comme opératrices à la chaîne en usine.
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