« J’en retiens que l’on a parlé un peu de logistique urbaine ». Tel est le sentiment de Julien Darthout au sortir des Assises de la mobilité, qui se sont tenues entre le mois de septembre et le 13 décembre, date de leur clôture par Élisabeth Borne, la ministre des Transports. Le délégué général du Club Demeter, faisant référence à la contribution de son organisation aux Assises, dit avoir mis en avant l’idée qu’« il n’existe pas un, mais plusieurs types de logistique urbaine ». Un postulat qui suppose, selon lui, que la recherche de solutions doit militer vers une approche flux et non pas commerciale. « Il faut sans cesse trouver le parallèle entre une approche flux et une approche canal de distribution », indique le dirigeant. Lequel déclare que, pour tendre vers moins de bruit, de congestion et de pollution (ce que l’on appelle « les externalités négatives »), la solution prônée par le Club Demeter lors du séminaire de logistique urbaine du 29 novembre (dans le cadre des Assises) peut se résumer par la formule suivante : « Venir le moins souvent et rester le moins longtemps possible (pour un volume donné) ». Julien Darthou
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