A chaque formule, sa fiscalité

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La transmission d'une entreprise entraîne en principe, pour le cédant, l'imposition immédiate des plus-values sur les éléments d'actif transmis et, pour le repreneur, le paiement de droits d'enregistrement. Il existe toutefois plusieurs dispositifs d'exonération ou d'allègement.

Qu'elles résultent d'une vente ou d'une donation, les plus-values dégagées lors de la transmission d'une entreprise individuelle sont imposables comme un bénéfice d'exploitation ou au taux de 16 % (hors prélèvements sociaux) selon qu'elles sont à court ou à long terme. Toutefois, sous réserve que l'activité ait été exercée pendant 5 ans, ces plus-values peuvent bénéficier d'une exonération totale ou partielle :

si les recettes de l'entreprise n'excèdent pas 350 000 ou 126 000 €, selon l'activité (article 151 septies du Code général des Impôts) ;

ou si la valeur des éléments transmis n'excède pas 500 000 € (article 238 quindecies du CGI).

En outre, en cas de donation, les plus-values non exonérées peuvent bénéficier d'un report d'imposition, qui peut se transformer en exonération définitive si le donataire poursuit l'activité penda

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