Parmi les 11 jours fériés que compte le calendrier, le 1er mai fait bande à part : il est obligatoirement chômé. Excepté pour les entreprises reconnues comme ne pouvant interrompre le travail ce jour-là. Celles de transport en font partie et ont donc le choix de chômer ou non cette journée. Les heures effectuées par un salarié qui travaille ce jour-là sont majorées de 100 % (hors éventuelles heures supplémentaires). S'il reste chez lui, son salaire est maintenu. Pour le décompte des heures supplémentaires, il s'agit d'une journée de travail effectif. Un 1er mai qui coïncide avec le jour de repos hebdomadaire n'est pas indemnisé.
Pour les autres jours fériés, les règles diffèrent. Ainsi, le jour férié chômé qui tombe un jour de repos habituel dans l'entreprise n'a aucune incidence particulière sur le salaire et n'ouvre pas droit à un repos supplémentaire. Tout se complique si le jour férié chômé tombe un jou
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