Le licenciement économique revu et corrigé

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Plusieurs dispositions législatives relatives aux procédures de licenciement économique sont suspendues pour une période de 18 mois, par la loi Fillon du 19 décembre 2002. Laquelle encourage par ailleurs la conclusion d'accords d'entreprise expérimentaux.

Adoptée par le Parlement le 19 décembre 2002, la loi Fillon relative à « la négociation collective sur les restructurations ayant des incidences sur l'emploi » rétablit provisoirement les dispositions sur les licenciements économiques en vigueur avant la loi de modernisation sociale du 10 janvier 2002. Celle-ci accordait notamment un droit d'opposition au comité d'entreprise dans les procédures de licenciement, obligeait l'entreprise à réaliser une étude d'impact et octroyait des prérogatives supplémentaires à l'inspection du travail.

La loi Fillon suspend au total sept articles. Ainsi l'amendement dit « Michelin », qui imposait l'ouverture de négociations sur les 35 heures préalablement à l'élaboration et la présentation de tout plan de sauvegarde de l'emploi devant le comité d'entreprise ou les délégués du personnel. A défaut, le juge des référés pouvait suspendre

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