Le passage au 44 t, générateur de réduction d’activité, peut-il justifier des licenciements économiques ?

Article réservé aux abonnés

Chaque mois, une question inspirée de récents bouleversements des règles sociales et la réponse de spécialistes du « social-transport ». Jean-Luc Allègre, gérant de JLA Allègre Associés-Sud, revient sur une question d’actualité : les effets sociaux de la généralisation des 44 tonnes.

L’accroissement de 15 % environ de la charge utile des véhicules concernés par le passage aux 44 tonnes peut théoriquement réduire le nombre de rotations des véhicules principalement transportant des lots complets. A fortiori en période récessive.

Théoriquement seulement car le passage aux 44 tonnes se traduira le plus souvent par un simple accroissement de potentialités pas toujours totalement exploitées. Si les véhicules antérieurement autorisés à 40 tonnes roulaient toujours en pleine charge, ça se saurait…

Hors champ théorique, il faut considérer que dans un certain nombre de situations (transport de liquides ou pulvérulents par exemples), par effet mécanique, le passage aux 44 tonnes pourra comporter des effets sur l’activité et, par rebond, sur les effectifs.

Pour autant cette réduction d’activité justifie-t-elle un licenciement

La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Social

SOCIAL PRATIQUE

Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15